Qu'il est donc facile de tomber en amour avec les ratons laveurs. Ça commence avec une voisine qui commence à les nourrir et cela se termine par moi qui continue à jouer le sauveur. Et pourtant, suite à cette documentation que tu liras chère personne, tu réaliseras tout comme moi, qu'ils n'ont nullement besoin d'être sauvé. Dans mon coin de campagne, ils sont sûrement bénis des Dieux car tout est mis à leur disposition, tout ce qu'ils aiment se trouvent dans le bois derrière ma maison où ils sont nés. Et après le bois, il n'y a que des terres, alors ils ont à loisir de bien se nourrir.
Mais, en apprenant à les connaître, je me suis amourachée d'eux: Une grosse maman avec ses 4 petits. Et depuis le printemps je les nourris maintenant à tous les jours. Je me suis affiliée avec mon marchand à légumes et à tous les deux jours je passe chercher les légumes qui ne sont pas assez parfait pour être vendus.
C'est donc dire qu'aujourd'hui tout le monde est bien gras. Je leur sers le repas dans une grange et sans exagérer, c'est tout un buffet. Je place les assiettes bien remplis avec par exemple deux blé d'inde, un gros paquet de carottes ou autres légumes, de la nourriture de chats dont ils raffolent. Et vers 11 heures, j'y retournent et je remplis à nouveau les assiettes. Et le lendemain, tout est vide.
Quelquefois j'en mets aussi sur la galerie et alors je m'assois par terre et je les regarde à travers la porte patio. Là j'ai du plaisir! Il y a en un parmi les ex-bébés car ils sont gros aujourd'hui, qui est vraiment agressif, même envers sa maman. C'est lui qui prends la place!
Comme par exemple, ce soir même, j'ai décidé de mettre du blé d'inde dans une de leur assiette en plein sur ma galerie. Je viens de voir arriver le premier jeune. Il a pris un morceau et s'est sauvé en bas pour le manger. Il est 22h30.
Aujourd'hui j'ai pris la décision de diminuer les quantités afin qu'ils cessent de se fier à moi et graduellement je vais cesser. Et j'ai aussi décidé de ne pas recommencer l'an prochain car maintenant que je sais qu'ils n'ont aucune difficulté à trouver de la nourriture, il n'y a plus de raison de continuer. C'est moi qui s'attache et qui risque de m'ennuyer d'eux. Alors aussi bien couper les ponts s'ils n'ont pas besoin de moi. Je peux leur nuire plus qu'autres choses.
J'ai fait beaucoup de recherche sur les ratons laveurs et je t'invite chère personne à consulter ce qui suit si tu veux tout connaître sur mes amis.
Ses grandes réserves de graisses lui permettent de passer tout l'hiver en état de torpeur dans sa tanière tapissée de feuilles et de copeaux de bois. Celle-ci est située dans le creux d'un arbre ou sous un tronc d'arbre tombé, dans un terrier de marmotte, de mouffette ou de renard abandonné, dans un abri sous roche, ou en ville, en-dessous d'une galerie.
- Période du rut: janvier, février
- Durée de la période de gestation: 63 jours
- Nombre de portées par année: 1
- Nombre de petits par portée: 1-7, plus souvent 4-5
- Période de mise bas: avril-mai
Le Raton laveur est un animal solitaire et pacifique. Il n'a pas d'instinct territorial et n'est habituellement pas dérangé par la présence d'autres Ratons laveurs à ses côtés, à moins qu'ils compétitionnent entre eux pour l'accès à la nourriture.
Le Raton laveur ne vit en général que 2 ou 3 ans en milieu naturel, mais certains peuvent vivre jusqu'à 13 ans. Le record de longévité est de 22 ans en captivité.
Les prédateurs du Raton laveur sont le Lynx roux, le Renard roux, le Coyote, le Loup gris, la Martre d'Amérique et des oiseaux tels des faucons et le Grand-duc lesquels capturent surtout les petits. La grande habilité du Raton laveur à grimper dans les arbres rend la tâche difficile à ses prédateurs. L'homme le chasse pour sa fourrure et le tue en grand nombre par accident sur les routes.
L’engourdissement hivernal permet au raton laveur de conserver son énergie sous forme de réserves de graisse en période de disette. Il s’agit d’une période d’inactivité plutôt que d’une véritable hibernation. La température du corps ne baisse pas et la température ambiante semble régir l’activité de l’animal. Les arbres creux, les souches, les rondins, les cavernes, les terriers de marmottes ou de renards inoccupés, ainsi que les granges ou les autres bâtiments du genre comptent parmi les abris préférés du raton laveur. En milieu urbain, il peut opter pour une cheminée de maison, un égout, un garage, un grenier, un arbre ou un ponceau. Les mâles adultes sont souvent seuls dans leur gîte, mais il n’est pas rare de voir une famille passer son premier hiver ensemble. On a déjà observé des terriers communautaires regroupant jusqu’à 23 individus, mais ils en comptent le plus souvent quatre ou cinq. Même s’il n’utilise qu’un seul gîte pendant l’hiver, le raton laveur dispose de plusieurs refuges pour les autres saisons.
Posté le 29 août 2010
.jpg)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire